Bonjour, Je vous soutiens pleinement dans la nécessité de mettre en avant l'optimisme et de positiver ! Je suis moi aussi parvenu à la même conclusion, et j'ai décidé de faire une revue de presse des articles du jour (ou de la veille) traitant de "bonnes nouvelles". Nos approches sont semblables, je traite néanmoins beaucoup moins de sites d'informations et uniquement les nouvelles annoncées "à la une", mais en contrepartie je référence tous les jours (ou presque) les "bonnes nouvelles" trouvées... Cordialement, Pierre Deloze
je viens de trouver votre journal des bonnes nouvelles. Enfin ! Il y a des années que j'en rêve ! Je dirige un centre de bilans de compétences et je suis confrontée en permanence à la "sinistrose" ambiante (voir le billet en lien), contre laquelle il faut lutter pour que les salariés que j'accompagne ne baissent pas les bras, accablés par un sentiment de fatalité. Nous faisons vivre un blog qui va dans le sens de votre site. (adresse ci-dessous) Bien cordialement et bonne fin d'année ! Monique Mattera
une bonne nouvelle : un article dans le journal La Croix du 12 décembre intitulé « Devenus adultes, les enfants placés s'en sortent mieux qu'on ne le pense »
29.Posté par
draillard le 10/12/2011 10:28
Lu dans Metro et la Dépeche (internet) "De même que la violence peut entraîner la violence, la gentillesse peut elle aussi faire des émules et n’est donc jamais perdue. Par gentillesse, entendons politesse, respect, tolérance, entraide ou ne serait-ce qu’un sourire ou une attitude amicale. La gentillesse n’est pas une faiblesse mais une force, la preuve en est qu’elle n’est apparemment pas à la portée de tout le monde, ou en tout cas elle demande quelques efforts à certains. C’est une question de décision, d’attitude envers la vie, du sens des responsabilités envers ses semblables en prenant part à un cercle vertueux. En faisant plaisir à quelqu’un aujourd’hui, qui aidera à son tour une autre personne demain, je croiserai peut-être un inconnu agréable et souriant après-demain. Certes, ce n’est peut-être pas facile tous les jours. L’humaniste américain Ron Hubbard définit la grandeur comme étant le fait de continuer à aimer ses semblables malgré toutes les bonnes raisons de ne pas le faire. La société est ce que l’on en fait. Alors essayons de ne pas laissez les aléas de la vie prendre le dessus et tentons de donner le bon exemple. Tout le monde sera gagnant. "
28.Posté par
Denise J. le 01/12/2011 09:21
Viens juste dedéouvrir le blog et voudrais vous encourager à poursuivre les revues de presse mensuelles.